pour les grandes oreilles !
Dès 10 ans
Récits et chansons originales autour de la laine, du fil, des ouvriers et ouvrières en filature.
Une mosaïque de récits, de chansons et de contes anciens.
Témoignages et rêveries autour des réalités du travail de la laine, de la filature.
Inspirées des ressources documentaires du nord, pleins de l’âme de sa grand-mère ouvrière, les chansons sont écrites par Anne, sur des mélodies simples.
Les arrangements sont créés par Benoit, qui les joue en direct et chante aux côtés d’Anne.
– Récit et Chant : Anne Leviel
– Chant et Musique (guitare, accordéon) : Benoit Bruhnes
– Durée : 45 min

L’épopée du roi Gilgamesh, gravée sur des tablettes d’argile il y a 4500 ans, est la première œuvre écrite de l’histoire de l’humanité. Elle raconte les aventures du roi Gilgamesh, tyran magnifique, et de son amitié avec Enkidou, l’homme sauvage né dans la steppe. Avides de gloire, ils partent combattre le terrible géant Humbaba, affrontent le taureau céleste et déclenchent la colère des Dieux… Découvrant la mort, Gilgamesh se lancera alors dans une quête ultime : l’immortalité.
Version Trio, Dès 9 ans
– Conte : Swan Blachère
– Chant et percussion : Cécile Cognet
– Machines : JB Hoste
– Durée : 1h10
Version Solo, Dès 11 ans
– Conte : Swan Blachère
– Durée : 1h
ls étaient tous venus des collines, les bergers.
Ils se sont retrouvés sur la place du village, et avec les brebis, la place était remplie.
Puis le soir est arrivé. On a vu une à une les lumières s’allumer.
On a commencé à entendre le bruit des portes, le bruit des pas dans les ruelles : Ils arrivaient, les bras chargés…
Les Ravis, un voyage au pays des sots, des simples, des innocents, des perdus, des perdants.
Juste pour le malin plaisir d’aller à contre-courant de ce monde à l’envers,
en ces temps où l’arrogance des gagnants et la tyrannie des gestionnaires
nous feraient désespérer de la vie.
Un voyage dont on revient le coeur ouvert, le cœur léger…
Sources principales : Grimm, Pourrat, Cosquin, et les traditions orales de Provence, Auvergne, Bretagne gallaise.
– Conte et Musique (cithare hongroise, flûte de pan et violon) : Michel Hindenoch
– Durée : 1h30


Du nord de la cordillère des Andes à la région des plaines, un petit garçon espiègle et joyeux, appelé Picaflor (colibri), et son burrito (petit âne) nous guident dans une balade à travers contes et musique. C’est un voyage initiatique durant lequel divers animaux et personnages fantastiques nous font découvrir l’univers magique de ces contrées.
Ce spectacle permet de découvrir les richesses naturelles et culturelles de la Colombie et du Venezuela. Et il questionne également sur la nécessaire protection de la nature.
– Conte et Musique (cuatro) : Victor Cova Correa
– Durée : 50min
– Ce spectacle peut se jouer avec 1 à 4 musiciens
Il était une fois un roi. Mais ce roi, c’était un tyran : tout le monde devait se prosterner sur son passage.
Un jour il arrive dans un village, tout le monde est sorti pour saluer le roi.
Tout le monde a baissé la tête devant lui.
Tout le monde, sauf un…
Cueillis au trésor de la tradition populaire, ces « Contes de la Pierre et du Vent » sont un bouquet de ruses, fables, facéties, merveilles, menteries. Choisis non pas par nostalgie, mais pour leur pertinence dans notre monde aujourd’hui.
Rejoignant la tradition des Bardes et des Aèdes, le conteur, seul sur scène, s’accompagne lui-même (cithare hongroise, flûte de pan…) et fait vivre autour de lui un espace imaginaire, un « écran » à trois dimensions…
– Conte et Musique (cithare hongroise et flûte de pan) : Michel Hindenoch
– Durée : 1h20

J’aurais pu choisir de récolter de belles histoires d’amour ou d’animaux ou mieux encore… des belles histoires d’amour d’animaux. Mais non, j’ai choisi les histoires horribles. Les affreuses, celles qui vous mordent les oreilles.
Mes Histoires Z’horribles, vous voudrez les oublier mais impossible elles resteront collées dans votre tête comme des sangsues. Après vous allez me détester, me haïr, m’exécrer. Certains auront envie de me voir brûler sur un bûcher. D’autres, peut-être, voudront me couvrir de plumes et de goudron…
Tant pis, je prends le risque ! Et je tire de mon chapeau à histoires : Dames Vertes, amours tragiques, ma grand-mère et légendes urbaines…
Déconseillé aux âmes sensibles !
– Conte : Hervé Thiry-Duval
– Durée : 1h15
Dans cette création, le conte, les souvenirs, la musique s’alternent, se bousculent, s’accordent.
Tate Bouka le père, personnage central transmet sa culture, son histoire. Homme de la tradition et témoin d’une période marquante de l’histoire du Gabon, Tate Bouka le père raconte ses souvenirs : l’initiation, passage obligé pour sortir de l’enfance, la polygamie, l’époque coloniale.
Souvenirs qui trouvent un écho dans la magie de ce conte à tiroir : l’histoire d’un jeune homme malchanceux dont le sort est transformé par la volonté des ancêtres. Il hérite alors d’une lance magique, d’une femme-antilope qui l’obligera à devenir polygame…
Dans ce spectacle, Rémy Boussengui joue le rôle de son propre père ; ce père qui fut à la fois conteur, chanteur, orateur brillant et adepte inconditionnel de l’humour…
« Mon spectacle rend hommage à mon père. Il n’est plus depuis 1995. Je ne voulais pas l’enterrer en silence. Mon père ne m’a pas laissé de châteaux, mais la parole qui me permet d’exister. J’ai trouvé là un moyen de lui dire au revoir. »
– Conte et musique (arc musical et percussions) : Rémy Boussengui
– Durée : 1h20

Caroline Sire, petite-fille du célèbre parfumeur François COTY, inventeur de la parfumerie moderne, nous invite au cœur du monde des senteurs, des odeurs, des parfums.
Un voyage entre récits, univers sonore, chant et mouvement.
Il ne s’agit pas d’une seule histoire mais plutôt d’une invitation à partir en immersion sensible au cœur du monde des senteurs, des odeurs, des parfums.
Un hommage. Un partage à la fois intime et universel qui nous fait plonger au cœur des souvenirs de notre cartographie olfactive personnelle.
Tout au long du spectacle se tisse un dialogue imaginaire avec ce grand-père jamais connu. Un homme qui concevait le parfum comme une signature de l’âme, qui avait la passion de la qualité et de l’excellence. Mais aussi la passion de créer du beau, du sublime, du rêve…
Si un parfum sans histoire est un parfum sans personnalité, alors conteur et parfumeur ont bien des choses à se raconter !
– Récit, Chant et Bande son : Caroline Sire
Ce spectacle peut être présenté dans des lieux équipés sous le titre : « Le Nez au Vent »
– Durée : 1h10
– Spectacle disponible en version anglaise
Les provinces de l’Est : Lorraine, Vosges, Alsace sont les pays qui m’ont nourri.
Après avoir abordé les contes du monde, les épopées, les mythes, j’ai pensé qu’il était temps de me consacrer aux contes de mon enfance. J’ai été bien étonné de trouver là un répertoire que j’avais déjà rencontré à d’autres sources. Un corpus d’histoires que je préférais déjà dans les versions d’autres pays.
Les fables, randonnées, facéties, contes merveilleux, légendes qui ont séjourné dans cette région, se sont si bien acclimatés qu’ils se sont fondus avec le paysage. Comme ils l’ont fait partout ailleurs, d’ailleurs. Mais je dois avouer que pour moi, ce sont les sapins qui font les plus belles forêts.
Les soirs Vosgiens sont les plus mystérieux. Les vergers de Lorraine ont cette bonhommie qui ne se retrouve nulle part. Les villages d’Alsace sont les plus beaux du monde.
Chauvin ? Et après tout, pourquoi pas ? Lorsque je voyage dans d’autres paysages, ce sont eux que je porte avec moi. Ils ont fait mes goûts, mes chimères, mes plaisirs.
Alors, il est temps de vous les faire goûter à mon tour. Car sans perdre mon temps à dire que les gens de l’Est sont les meilleurs, ce que je ne crois pas, j’aimerais vous faire goûter cette terre qui a porté mes premiers rèves d’enfant, avant que le cheval blanc du voyage ne m’ait apprivoisé…
– Conte et Musique (cithare hongroise et flûte de pan) : Michel Hindenoch
– Durée : 1h20


Un récital autour des chants du Venezuela et de l’Amérique du sud. Les doigts du pianiste dansent sur un clavier enivré de jazz, nous proposant -par ses arrangements virtuoses- une vision nouvelle sur des rythmes méconnus. Le conteur, lui, fredonne, raconte, murmure, déclame, transmet le sens parfois caché dans les paroles de ces « chants bien-aimés ».
– Conte et Poésie : Victor Cova Correa
– Musique (piano) : Simon Bolzinger
– Durée : 1h
– Tour de contes anglais / français
Les histoires se racontent d’un bout du Channel à l’autre, portées par le vent et l’imagination des hommes. Au cours de leur voyage, elles changent de couleur, de musique, de mots. Passant d’une langue à l’autre, invitant les auditeurs à se joindre à la fête, Caroline Sire nous emmène tambour battant à la découverte de personnages tour à tour poétiques, drôles ou inquiétants.
Dans un décor sobre, Caroline Sire nous enchante en nous entrainant dans le sillon de ses histoires pleines de rêve, de vitalité et de fantaisie. Elle manie avec beaucoup de bonheur les langues française et gaélique. En entremêlant le chant, la danse, le récit, elle nous fait rêver…
– Conte, Chant et Musique (Bodhrán et Sanzula) : Caroline Sire
– Durée : 1h


De tout temps, en tous lieux, les êtres que nous sommes avons toujours sublimé le sentiment d’amour. Si nous avons donné un si haut rang à ce sentiment, c’est qu’il fait de nous l’esclave de sa loi.
Quelques histoires d’amour pour nous éclairer sur les maux de l’amour et que le mal d’amour ne peut se guérir qu’avec les mots de l’amour.
C’est aussi l’histoire d’une fille qui demande un si bel habit que son père en désespère… de fil en aiguille… des histoires de soie, de mousseline et de taffetas. Alors chevauchons les ailes du merveilleux
– Conte et Musique : Hamed Bouzzine
– Durée : 1h20
Le Roman de Renart est un recueil de contes ou “branches”, mettant en scène des animaux de la forêt, de la ferme et quelques rares humains de passage. Pour les nombreux poètes qui ont contribué à son écriture, le Roman de Renart était l’occasion d’un divertissement coloré et joyeux, d’une parodie du Roman Chevaleresque, mais surtout d’une satire sans complaisance de la société féodale.
Bien qu’aujourd’hui nos règles sociales aient changé (en apparence), le personnage de Renart résonne toujours en nous : Il continue plus que jamais à incarner l’espoir de l’Homme dans sa lutte incessante pour échapper aux hiérarchies naturelles et sociales.
Le Roman a pourtant une autre résonance : Ce “renversement du monde” nous conduit à interroger notre conception du mal et le lien secret qui nous attache à notre ombre. Il s’inscrit dans la tradition des cycles du fripon divin, de Dionysos, d’Hermes, de Tiel Eulenspiegel, de Coyote ou Corbeau des Amérindiens du nord… Renart est le héros de toutes les transgressions contre l’ordre établi.
À partir de quatre des branches du Roman et de leur correspondances dans le patrimoine oral populaire, “Renardises” nous propose quatre étapes majeures vers notre libération : Chantecler ou l’apprentissage, le Puits ou la chance, Tibert ou la rivalité, Roenel ou la solitude.
– Conte et Musique (cithare hongroise et flûte de pan) : Michel Hindenoch
– Durée : 1h20

D’après… tous les bons faiseurs et les bons diseurs de mots
De quelle sagesse s’agit-il ?
De celle du vautour ou de celle du magicien ?
De celle de l’enfant ou de celle de l’écureuil ?
On avait dit à Kofi : « Va sur les sentiers, parcours les villages et les forêts, interroge tout ce qui bouge et qui respire, écoute le langage de l’homme comme celui de l’animal, récolte la sagesse partout où tu la trouveras et enferme-la dans la calebasse. »
« Avec ce spectacle, je plonge à nouveau dans mon patrimoine, gisement millénaire des contes du Gabon. Je veux répondre à la curiosité du voyageur au moyen d’histoires empreintes d’humour mais porteuses de vérité. J’y réponds aussi par l’évocation d’un élément essentiel de la parole africaine : le proverbe, sève de toutes les palabres. »
Ici les pas de celui qui cherche sont rythmés par la musique des percussions et le son de l’arc musical.
Le public, sage ou non, est appelé à recréer le village…
– Conte et musique (arc musical et percussions) : Rémy Boussengui
– Durée : 1h15
La maison dans la forêt, envahie par les ronces et les chardons, abandonnée depuis la venue des espagnols, nous appelait…
Hauts comme trois mangues, nous allions y jouer, mais jamais la nuit ! Et encore moins les nuits de nouvelle lune. Car le Vieux Gavilán nous avait raconté que lorsque le ciel était ainsi sombre, la maison reprenait vie ; chacune de ses pièces hébergeait un cauchemar…
Ce soir, le village est en fête, nous jouons au jeu de la bouteille, et les perdants auront pour gage de surmonter leur peur en explorant la maison….
– Conte et Musique (cuatro) : Victor Cova Correa
– Durée : 1h

Des Mythes de la Grèce antique, il nous reste une profusion de légendes et de récits fabuleux. Ils constituent pour nous des racines lointaines et pourtant toujours présentes : C’est que la vie des Dieux et des Héros, leurs aventures, bien qu’elles soient imaginaires, ont la vertu de nous éclairer sur ce que nous vivons chaque jour dans les régions de notre âme.
Du Cycle Crétois, et particulièrement de celui de Thésée, du combat secret de Zeus et de Poseidon, du destin tragique du fondateur d’Athènes, de sa rencontre avec le Minotaure, Minos, Pasiphae, Ariane, ne nous sont parvenus que des fragments. Sous forme de légendes éparses, voire d’anecdotes, le plus souvent d’« informations ». Et pourtant le récit reste aujourd’hui autant qu’hier la forme la plus juste pour nous approprier les mythes.
La tentation était grande pour un conteur-musicien de réunir ces éléments en une grande histoire, de dépasser l’intérêt documentaire pour permettre – c’est la force du conte – l’aventure intérieure. C’est donc sous la forme d’un récit musical que cette histoire sera tissée une épopée contée et chantée, où tour à tour la musique et la parole se relaient, se marient et se confonde.
– Conte et Musique (cithare hongroise et flûte de pan) : Michel Hindenoch
– Durée : 1h20
Et si Barbe Bleue était, en fait, une histoire d’Amour ?
C’est l’histoire d’une jeune fille timide, dont le père décide d’en faire une bagarreuse, parce qu’il faut se défendre dans la vie. Elle devient Coud’boule, une vraie dure, qui écrase tout sur son passage. Jusqu’à ce qu’un jour, tout bascule et que les ombres surgies de la nuit reprennent leurs droits pour lui faire rêver l’histoire fantastique d’une jeune femme contrainte d’épouser un monstre sanguinaire, le serial killer des contes. Elle seule peut aider Barbe bleue à retrouver sa part de lumière. Quand elle reprend ses esprits, l’héroïne redevient maîtresse de ses peurs et de ses désirs, maîtresse de son destin.
« Mi-ombre,mi-lumière, Elodie Mora touche les spectateurs en plein coeur, que ce soient les adolescents ou bien les adultes, ces vieux enfants. Dans Barbe Blues, la conteuse décline le verbe aimer à tous les temps : celui de la peur, celui du désir, celui de l’humour, celui de la fragilité… Son personnage conjugue pour nous le verbe être à toutes les personnes : je, tu, il ou elle… île ou ailes ? Telle est la question de Coud’Boule ! » Gigi Bigot
– Conte et récit : Elodie Mora
– Durée : 50 min
Dans la mythologie irlandaise, les Fianna sont des guerriers et des chasseurs à l’habileté exceptionnelle, au service du roi d’Irlande. Ils défendent l’Ile du Destin, non seulement contre ses ennemis visibles mais aussi contre les forces ténébreuses de l’Invisible.
Les deux factions les plus mythiques des Fianna étaient le Clan Baîscne de Leinster, dirigé par Fionn Mac Cumhaíll, et le Clan Morna de Connaucht, emmené par Goll Mac Morna.
Partez à la rencontre du chef le plus mythique, Fionn Mac Cumhaíll, ultime chef des Fianna et découvrez les grands épisodes de sa vie : les enfances de Fionn, le Saumon de la Connaissance, la rencontre avec Sabha… autant d’histoires qui feront vibrer le héros qui sommeille en vous !
– Récit, Chant et Bande son : Caroline Sire
– Durée : 1h
– Spectacle disponible en version anglaise
« Tous les Celtes sont des rêveurs d’horizons imaginaires, et Caroline Sire est irlandaise dans l’âme… tout est dit ! Il reste juste à venir écouter les récits fabuleux qu’elle raconte, où les druides s’affrontent à coup de magie et les fées tombent follement amoureuses des héros. Une voix prenante, d’une clarté limpide… Invitation au voyage ! ». Alain LE GOFF
Arrigullan est un Amenokal, seigneur de haut rang et homme de pouvoir, il reçoit la visite de trois sages qui lui révèlent sa destinée : un enfant va naitre et cet enfant, son neveu Adelaseigh, prendra sa place.
A la fois son successeur et son rival, Adelaseigh sera soumis par Arrigullan à des épreuves initiatiques relevant de la pédagogie et de la survie dans les déserts hostiles.
« D’une poignée de sable, nous ferons un commencement de jardin,
de tous nos rêves nous avons fait notre ciel… »
– Conte et Musique : Hamed Bouzzine
– Durée : 1h30
Du spectacle intimiste, voix, guitare et percussion à la version pour les grandes scènes réunissant musiciens et danseurs !
En Irlande, en Ecosse ou en Bretagne, il a toujours existé des endroits où la nuit venue – belle et douce nuit d’été, nuit d’automne et de tempête – les conteurs prennent la parole, les chanteurs déploient leurs voix… et un monde se crée puis s’efface sur la ligne de crête des mots, comme les empreintes d’un cheval au galop effacées par le ressac.
Qu’on se retrouve au Crown, au Quiet Dog, au Finnegan’s ou au Holly Bar, on peut y entendre aussi bien un mythe ancien, l’histoire du Roi Conn aux cent batailles, l’anecdote du voisin ou les aventures du peuple des Faeries…
« Sur la Route de Clifden » veut à la fois témoigner de ces moments forts et magiques, mais aussi de la vraie vie des pubs et de leurs histoires formidables !
– Récit, Chant et Percussion (Bodhrán) : Caroline Sire / Composition, Guitare, Tambura : Gilles Le Bigot
– Spectacle à géométrie variable, de 1 à 12 personnes, avec musiciens et/ou danseurs !
– Durée : à convenir
– Spectacle disponible en version anglaise
« Caroline Sire a passé son adolescence en Irlande et une partie de son cœur est restée là-bas. Aussi, lorsqu’elle nous entraîne sur les chemins de la verte Éireann, elle est à la fois « la Vieille Dame de Beare » – qui écrivait ce magnifique poème au VIIIème siècle – et en même temps cette jeune cailín sur la route de Bandon, à la recherche de la pierre de Blarney, celle par laquelle TOUT peut arriver ! Des récits à l’odeur de tourbe, mêlée de bruyère, venus d’un temps où les grands Rois d’Irlande avaient pour conseillers les « gypsies », vagabonds magnifiques et poètes qui voyageaient sur les chemins du vaste monde de l’Ouest. » Patrick EWEN
Nous n’oublierons jamais qu’il fut un temps béni où notre culture, dans un désir de lumière, fut sensuelle par sa forme et sa pensée, libertine par ses mots et ses jeux et gourmande par son ouverture et sa curiosité.
Cette part-là, je la saisis de nouveau car elle a rejeté l’obscur pour ne montrer que le lumineux, elle a chassé le barbare pour faire place au tolérant, elle a crée des esprits critiques et indépendants pour exalter le raffinement.
Il y eut d’admirables rencontres entre le juif et l’arabe, l’arabe et le chrétien, le chrétien et le juif, entre le profane et le sacré, le savant et le populaire.
A chacun sa part de génie, sa part de culture, sa part d’humanité pour les siècles à venir.
« Dans mon jardin poussent la rose et le jasmin, glougloute l’humble vasque de pierre rongée par les algues et les moisissures ». Le rossignol répond à la tourterelle à collier : Qui mieux que moi connaît les secrets de l’amour ? Je passe mes nuits à le sublimer par mon chant. Dès que j’ouvre la bouche, l’univers entier s’éteint. Il suffit de m’écouter pour perdre la raison et tomber dans l’ivresse.
Mais le rossignol se tait lorsqu’il découvre l’absence de sa rose bien-aimée. »
– Récit et musique : Hamed Bouzzine / Musique : Hassan Tabar
– Durée : 1h20
