Peur, Halloween

Pour se faire (un peu) peur avec des histoires !
La fille de l’ogre et de la sorcière a choisi de tout raconter : la grotte où jamais il ne faut entrer, le cri de l’os dans le placard, la transformation du chat noir, pourtant, si mignon au départ…
Pendant ce temps, la femme-Troll court avec le vent et Jojo-Squelette, décidément, n’a toujours pas retrouvé son doigt de pied !

Pour ce voyage, venez sans crainte : la conteuse a les clés et connaît le chemin.

– Conte : Anne Leviel
– Durée : 1h

Un florilège d’histoires malicieuses au bon goût d’autrefois,
relevées d’un zeste d’humour
avec des princesses moches,
des saucisses faramineuses
et des bûcherons pas bien malins…

Ce spectacle est né de l’envie irrésistible de raconter les contes que j’aimais enfant en les cuisinant à ma façon. A bien y regarder ces contes dits « merveilleux » se montrent plutôt calamiteux pour les héros de ces histoires.

– Conte : Hervé Thiry-Duval
– Durée : 1h15

Dans le temps d’Halloween, lors de la nuit de Samhaín, les portes du monde du dessus s’ouvrent vers celui du dessous…
Les vivants rencontrent les morts et la Mort en personne arpente les chemins de la terre.
Ces histoires-passages vous feront tout à la fois frémir, pâlir et… rire !

Loin des grandes fêtes commerciales et des sarabandes de morts-vivants, ce spectacle redonne tout son sens à cette fête de l’entrée dans l’obscurité qui nous invite à chercher notre lumière intérieure.

– Conte, Chant et Musique (Bodhrán et Sanzula) : Caroline Sire
– Durée : 1h
– Spectacle disponible en version anglaise

Cette nuit où tout est possible, les morts ont la parole. Ils nous permettent, une fois l’an, de visiter le monde invisible des esprits, de voyager au temps des légendes oubliées et dans ces lieux hantés qui donnent le frisson.

« Ce soir, comme tous les soirs, Jean est sur le chemin du retour. Excepté que cette fois-ci où un épais brouillard se lève et le piège. La nuit tombe et il est complètement perdu. Seul et effrayé, il trouvera finalement refuge dans une étrange maison, dont on ne repart pas si facilement. Cette nuit où le monde des vivants et des morts se confond, on ne raconte que des histoires qui font blêmir. »

– Conte : Elodie Mora
– Durée : 50 min

J’aurais pu choisir de récolter de belles histoires d’amour ou d’animaux ou mieux encore… des belles histoires d’amour d’animaux. Mais non, j’ai choisi les histoires horribles. Les affreuses, celles qui vous mordent les oreilles.

Mes Histoires Z’horribles, vous voudrez les oublier mais impossible elles resteront collées dans votre tête comme des sangsues. Après vous allez me détester, me haïr, m’exécrer. Certains auront envie de me voir brûler sur un bûcher. D’autres, peut-être, voudront me couvrir de plumes et de goudron…
Tant pis, je prends le risque ! Et je tire de mon chapeau à histoires : Dames Vertes, amours tragiques, ma grand-mère et légendes urbaines…
Déconseillé aux âmes sensibles !

– Conte : Hervé Thiry-Duval
– Durée : 1h15

La maison dans la forêt, envahie par les ronces et les chardons, abandonnée depuis la venue des espagnols, nous appelait…
Hauts comme trois mangues, nous allions y jouer, mais jamais la nuit ! Et encore moins les nuits de nouvelle lune. Car le Vieux Gavilán nous avait raconté que lorsque le ciel était ainsi sombre, la maison reprenait vie ; chacune de ses pièces hébergeait un cauchemar…

Ce soir, le village est en fête, nous jouons au jeu de la bouteille, et les perdants auront pour gage de surmonter leur peur en explorant la maison….

– Conte et Musique (cuatro) : Victor Cova Correa
– Durée : 1h

Et si Barbe Bleue était, en fait, une histoire d’Amour ?

C’est l’histoire d’une jeune fille timide, dont le père décide d’en faire une bagarreuse, parce qu’il faut se défendre dans la vie. Elle devient Coud’boule, une vraie dure, qui écrase tout sur son passage. Jusqu’à ce qu’un jour, tout bascule et que les ombres surgies de la nuit reprennent leurs droits pour lui faire rêver l’histoire fantastique d’une jeune femme contrainte d’épouser un monstre sanguinaire, le serial killer des contes. Elle seule peut aider Barbe bleue à retrouver sa part de lumière. Quand elle reprend ses esprits, l’héroïne redevient maîtresse de ses peurs et de ses désirs, maîtresse de son destin.

« Mi-ombre,mi-lumière, Elodie Mora touche les spectateurs en plein coeur, que ce soient les adolescents ou bien les adultes, ces vieux enfants. Dans Barbe Blues, la conteuse décline le verbe aimer à tous les temps : celui de la peur, celui du désir, celui de l’humour, celui de la fragilité… Son personnage conjugue pour nous le verbe être à toutes les personnes : je, tu, il ou elle… île ou ailes ? Telle est la question de Coud’Boule ! » Gigi Bigot

– Conte et récit : Elodie Mora
– Durée : 50 min